Oh mon cher comme ce parfum vous va à merveille! Je me ferai votre tendre assassin, je tuerai les insectes sous votre peau. Et j'aurai en mémoire chaque mouvement, chaque émoi de votre flamme... J'en ferai peut-être des ébauches cendrées. Elle aime ce qui le rend poésie et ce qui la rend poésie...

Destruction de l'être

Si tu meurs...que restera t-il de moi? Je n'existerai plus dans ton noble regard. Regard vert, ou bleu, maitenant, blanc ou noir. Une note résonne en moi...toujours la même, c'est la note "si" Baume pour mon être a reconstruire, acide pour mon âme bléssée. Pourquoi te detruire? Disparaître? Tu n'éprouve rien, tu erres sans but, sans peine, ni douleur, ni joie...Tu n'es plus... Mais tu deviens. Vide constant, torturant, spatial. Reconstruire et detruire dans ce vide parfois acceuillant parfois hostile. Je ne me regarde plus, je contemple cet espace où s'agite un univers...Et j'ai de l'espoir encore...car je vois que derriere ces destructions survit quelque chose...
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Anonyme a dit…
Elle est chouette l'idée... La realisation bien moins.
Anonyme a dit…
Est-ce une idée ou un ressenti?
Pour moi, c'est plus un ressenti qu'une idée. Et l'expression de ce ressenti nous amène à nous rappeler que chacun est un univers, que nous vivons aussi par les autres, nous sommes tous plus ou moins interconnectés.
Cela dit en résumé parce que ce petit texte est tellement plus ouvert que mon froid résumé! C'est cela l'apanage de la poésie: laisser les idées ouvertes, que chacun y soit libre de laisser résonner ces phrases en son âme... se retrouver dans une méditation ...de faire vibrer ses propres ressentis.
Dommage que cela ne corresponde pas à votre sensibilité, Nexolis!