Oh mon cher comme ce parfum vous va à merveille! Je me ferai votre tendre assassin, je tuerai les insectes sous votre peau. Et j'aurai en mémoire chaque mouvement, chaque émoi de votre flamme... J'en ferai peut-être des ébauches cendrées. Elle aime ce qui le rend poésie et ce qui la rend poésie...

Au bout le Paradis?

Je monte ces marches une à une, lentement, pour savourer délicieusement cet instant de transition...

Surtout ne pas tomber, ne pas se tourner, ne pas penser...

Ce cher Orphée aurait dù le comprendre dans sa belle conquète

Chaque marche m'engourdie l'esprit, je crois que je suis en train d'oublier...

De m'oublier...

Mais je n'ai plus peur...Je ne me rapel d'ailleurs plus de la peur...

Pourquoi suis-je venue ici, est-ce l'heure du goûter?

Plus de marque , plus de sens, plus rien qu'une montée absurde vers un fragment de vérité.

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Anonyme a dit…
Pour ce titre j'aurai mi une photo de l'escalier qui descend vers ta chambre...