Oh mon cher comme ce parfum vous va à merveille! Je me ferai votre tendre assassin, je tuerai les insectes sous votre peau. Et j'aurai en mémoire chaque mouvement, chaque émoi de votre flamme... J'en ferai peut-être des ébauches cendrées. Elle aime ce qui le rend poésie et ce qui la rend poésie...

Dangereuses lubies.
J'alligne les mots pour me rassurer.
J'ai la peur de me perdre, de ne plus me rappeler.
Pourtant le pendule continue sa balance .
Et je me plais à croire qu'il ne s'arretera pas.
Je m'enfume de douce illusions.
D'illusions courbées et esthétiques.
Qui nourrissent et satisfont mes désirs.
Je me plais à croire que de ces illusions en ressort une certaine vérité.
Une vérité qui ne cesse de m'inspirer et de m'envouter.
Le vague de la pensée m'endors.
J'ose un cri sourd pour voir juste, d'abord.
Il ne veut rien dire, et personne ne l'entend.
Je cesse ce Jeu.
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Anonyme a dit…
tes poemes sont parfois tristes mais ton blog reste tres beau, tres imaginatif et plein de pensees.
Anonyme a dit…
Rien a rajouter par rapport à Céline...Si ce n'est "mélancoliques" au lieu de "tristes" :)