Oh mon cher comme ce parfum vous va à merveille! Je me ferai votre tendre assassin, je tuerai les insectes sous votre peau. Et j'aurai en mémoire chaque mouvement, chaque émoi de votre flamme... J'en ferai peut-être des ébauches cendrées. Elle aime ce qui le rend poésie et ce qui la rend poésie...




Dans le lit de l'oublie; je joue, je me debat, je rie, je médite, j'attrape la folie...qu'il me faut guérir en suant sous les couvertures. Le ciel est là sous mes paupières, je le contemple, il est beau. Et dans mon alcôve, je receuille tous ses nuages pour inventer des jeux tendres. Je me plais à être avec eux dans le vide, dans l'eau, là où je ne perçois plus les limites de mon corps, là où mon corps est entièrement éveillé et infini. Je ne pense plus, je n'attend plus, je ne suis plus moi. Je suis. Rêve, rêve, rêve... Ca y ressemble tant Bientôt tu ne rêveras plus, et ceci tu le gouteras en pleine conscience... En attendant gueris toi de la folie.

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Anonyme a dit…
J'aime beaucoup tes dernirères photos. Je ne sais pas qui prend celles te représentant. Elles sont très bien. Je suis un peu envieuse de ne plsu avoir personne pour me prendre en photo, j'aimais ca, pas me voir mais sentir un coté artistique passé par moi.. rien de narcisique car je n'aime pas que l'on me reconnaisse... enfin c complexe !
:) Bonne continuation, à une prochaine fois !