Oh mon cher comme ce parfum vous va à merveille! Je me ferai votre tendre assassin, je tuerai les insectes sous votre peau. Et j'aurai en mémoire chaque mouvement, chaque émoi de votre flamme... J'en ferai peut-être des ébauches cendrées. Elle aime ce qui le rend poésie et ce qui la rend poésie...

"""Je me suis élevée des terres noires, legère et nettoyée, je m'évapore. Métamorphose onirique, vers quel devenir vais-je? Je traverse les limbes avec convalescence, je me perd un moment, je perd la vue. Il y a cette odeur...ennivrante, brûlante, rassurante...chimère? Comme un funambule je marche droit sans hésitation, je surveille mon équilibre, parfois fragil et mortel. Abysse Sybillin. Je poursuis cette Egerie, cette inspiratrice."""



Transparence
Heureux thaumaturge qui transperce les crânes
Et rend fragile l'envellope des âmes
Deliquescence des peaux mortes, des maux oubliés.
Suaire lunaire flottant sur les eaux troubles.
Naïade déambulant, humide, absente, perdue.
Lubies Pures
Il y a des portes dans les murs
des reflets dans les miroirs
des murmures sur les bouches.
Dilemne Abstrait
Deux notes
Et les crânes de crystals se brisent sur le marbre blanc.

Je retire les Cendres.
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