Ara liüs, sauvad alle mepüs, meu tahal ssis kesviq, sauvad alle reüs, meu lathal ssis mo.

Carpharnaüm dans les méandres de mes idées.
Symphonie "furioso" qui déchire et perce les tissus sentimentaux.
Au faîte du mot prononcé, quelques atomes divins.
Au fond du verbe prononcé, quelques ondes créatrices.
Des sons melliflus, des douces syllabes remontent à la surface par bouillonnement.
Ambiance Vesperale.
Aux pronfondeurs des Maux oubliés la lie reste présente.
Et je trouve dans l'alcôve de mes abstractions des jouissances interrompues, des jouissances amputés.
Il y a cette volonté de se recomposer, de se restituer, de faire jaillir toutes les chimères obscures stagnante depuis trop longtemps dans les marécages aux miasmes putrides de fausse méthaphysique.
Retraite extrème entre les végétaux ou retraite extrème entre les mains d'un homme prophète.
Tous deux n'auront pas peur de mon mal, de ma folie, de mon amour.Tous deux n'hésiterons pas à ouvrir et créer des plaies douloureuses.
Des plaies salvatrice.
L'Ecume de l'âme se diperse.