Oh mon cher comme ce parfum vous va à merveille! Je me ferai votre tendre assassin, je tuerai les insectes sous votre peau. Et j'aurai en mémoire chaque mouvement, chaque émoi de votre flamme... J'en ferai peut-être des ébauches cendrées. Elle aime ce qui le rend poésie et ce qui la rend poésie...

Aujourd'hui...

















A quoi penses tu chère demoiselle?...Je ne pense pas, je sens...Je m'abondonne...Pourquoi ca? Je ne sais pas, j'en ai peut être besoin....Mais comment s'est passé ta journée?...Ma journée était étrange aujourd'hui, j'en suis heureuse! Une journée d'abondons...j'offre mon corps et moi même, la jeune fille ici, innocente...N'est ce donc pas terrible?...Oh non, je n'ai pas peur, je sais qu'ils prennent soin de moi...et puis j'en ai besoin, besoin de voyager, de m'evader encore une fois...Je suis calme, sereine, j'attend, l'esprit déjà dans les plus beaux paysages, paysage qui m'enchante, me font rire et pleurer... Ma journée est belle, je suis assise et j'attend dans les nuages...
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Anonyme a dit…
Assise dans ce texte, peut-être va-t-elle se transformer en mot?
Anonyme a dit…
Quelle image splendide et forte!
Posée sur le texte, la jeune femme se dresse et, de son regard, s'élève encore au-delà. L'image est frappante de symétrie mais le personnage n'est pas de pierre et sa sensibilité le fait échapper à cette rigueur: son regard n'est pas symétrique, il s'élève aussi, échappant au cadre. Ce regard n'appartient plus à la photo mais totalement à cette jeune femme.

Le texte, figé, sert d'appui pour s'élever. Il ne peut prendre vie que par la présence de cette jeune femme.
...et le voilà libre... la voilà libre...

Merci pour cette photo!